Un ami a connu une situation où une offre d'emploi a été considérablement retardée à la suite d'une offre verbale. Il s'est avéré que les conditions du poste avaient changé et que l'organisation tentait de sauver la situation et de trouver un autre arrangement qui permettrait de l'intégrer.
Dans cette situation, précipiter les choses n'aurait pas aidé et aurait pu ajouter de la tension à la situation, alors que l'organisation avait simplement besoin de plus de temps pour prendre des dispositions adéquates avant que l'offre ne puisse être finalisée. En fin de compte, il s'est senti suffisamment confiant dans le travail pour commencer à déménager avant d'avoir la lettre d'offre en main. Il a fini par recevoir la lettre et les choses se sont bien passées, mais c'était néanmoins une démarche risquée (sans jeu de mots).
Les choses peuvent et doivent mal tourner à la dernière minute pour un certain nombre de raisons. Assurez-vous d'avoir une lettre d'offre formelle avant de remettre votre préavis de deux semaines ou de vous présenter au premier jour de travail !
De plus, les services des ressources humaines des différents types d'employeurs (par exemple, public ou privé) et de différentes tailles n'évoluent pas à la même vitesse. En fin de compte, je suis d'accord que vous devriez simplement demander, mais assurez-vous que votre demande ne commence pas à ressembler à un harcèlement : attendez environ une semaine, mais restez ferme sur le fait que vous aurez en fait besoin d'une lettre officielle avant de pouvoir donner un préavis de deux semaines à votre employeur actuel, afin qu'il puisse prévoir un délai supplémentaire de votre part avant la date de début. Bonne chance !